Les Fondations Esotériques du Kriya Yoga : Kriya Samadhi niveau 1

Silhouette qui médite sur fond rosé, fondations ésotériques du Kriya Samadhi

Bienvenue au séminaire sur les « Les Fondations Esotériques du Kriya Yoga : Kriya Samadhi niveau 1 ».

Le premier niveau pose les bases fondamentales et traite de votre anatomie ésotérique ainsi que de l’anatomie occulte de l’univers.

Je parlerai de vos trois corps ésotériques et de vos cinq enveloppes ésotériques, et aussi de vos convertisseurs de masse énergie – les chakras -, de vos canaux astraux – les nadis – et des centres inférieurs de la conscience du corps dense – les talas. Je décrirai les quatre univers manifestés, avec leurs sept plans.

Nous parlerons du concept d’énergie de Vie – le Prana – et comment cette énergie de Vie affecte votre univers intérieur et donc votre univers extérieur.

Yoga et mysticisme consistent à mener la Vie spirituelle de la Joie, Ananda.

Je suis sincère quant au Chemin spirituel. Cependant, nous ne devons jamais confondre sincérité et sérieux. La vie n’a qu’un seul but : l’acquisition de l’Illumination – le Samadhi.

Nous sommes tous en quête de la Réalité. J’explique juste un moyen donné de chercher cette Réalité. Il y a de nombreux Chemins. Si je reste à l’écart de toute émotionalité, je pourrai vous aider dans votre recherche. Ainsi, il se peut que je parle plus de mysticisme que de Kriya Yoga. Cependant, la philosophie, les méthodes et la procédure sont celles du Kriya.

Puisse notre enthousiasme pour le Divin ouvrir les plus hauts canaux dans notre conscience pour que nous puissions tous en bénéficier et être bénis, afin d’être une bénédiction pour autrui.

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La relation Guru-Disciple : un apprentissage sacré

Mains du Bouddha

Dans ce texte, je souhaite partager avec vous le plus grand amour humain vous puissiez jamais connaître: l’amour de votre Guru pour vous. C’est un amour spécial. C’est un amour durable. Votre degré de participation à cet amour dépend de votre compréhension de qui et de ce qu’est un Guru, de ce qu’est un disciple et de la nature de la relation éternelle qui existe entre les deux.

Le fait que vous lisiez ce texte suggère que vous êtes prêt à transformer votre rapport avec la Vie. Vous pouvez avoir un Guru ou en chercher un ; indubitablement, vous êtes sur le Chemin. Si vous êtes comme nombre de chercheurs modernes, vos idées concernant le Guru et la condition de disciple sont un mélange étrange de rêves, d’espoirs, de peurs, de doutes et de curiosité. Ce n’est guère étonnant, étant donné les exemples des plus ostentatoires Gurus modernes. Ce texte, en supplément d’apaiser vos peurs, vous présente une vision de la relation Guru-Disciple à la fois éminemment saine et finalement transformative. Comme vous le découvrirez au fil des lignes, la relation Guru-Disciple vous change à jamais et pour le meilleur.

Guru signifie chasseur d’obscurité. Ironiquement, une grande obscurité et confusion entourent la signification du mot, la fonction de Guru et la nature du disciplariat. L’un des buts de ce texte est de chasser cette obscurité et d’éclairer la véritable nature de la relation Guru-Disciple.

Le terme Guru fait maintenant partie du langage commun. L’on parle de gurus de l’informatique, de gurus sportifs et de gurus financiers. Un tel usage indique typiquement un individu expert en son domaine, quelqu’un auprès de qui l’on cherche conseil. D’autres fois, Guru est utilisé négativement pour suggérer la tromperie, l’inflation de soi ou pire, l’autoritarisme par poigne de fer. Nombre de professeurs spirituels modernes, pour se distancer de toute implication de privilèges spéciaux, soulignent, “Je ne suis pas Guru.”

Ces connotations n’ajoutant pas de profondeur à notre compréhension des véritables significations, intentions et significations de la relation Guru-Disciple, sont plus le reflet de notre propre ignorance spirituelle concernant le Guru et mettent en valeur notre confusion générale sur les rapports, la dépendance et l’autonomie.

L’image du Guru comme autorité inflexible est une excroissance de la tendance névrosée à définir tous rapports en termes d’équations de pouvoir ; qui a plus, qui a moins. De tels rapports, fondés sur la lutte, seront toujours caractérisés par l’insécurité et un mécontentement persistant. Comprendre et équilibrer la source de cette lutte de pouvoir ouvrent sur la nature affirmative d’une véritable relation Guru-Disciple.

Il y a une différence entre autoritarisme et ‘autorité légitime’. L’un est fondé sur le pouvoir et le contrôle tandis que l’autre l’est sur la conscience et la Sagesse. Les étudiants en musique assistant à un cours magistral avec un maestro renommé l’investissent d’une autorité légitime. Ils reconnaissent qu’il a touché, à travers sa propre pratique, le cœur de musique. Ils perçoivent la magie dans sa performance, magie qu’ils ressentent en eux et dans toute musique. Leur conscience investit le maestro d’une autorité légitime.

En clair, les directives du maestro ne sont pas des ordres destinés à être obéis. L’étudiant n’est pas obligé de les prendre en considération. Mais si l’étudiant est sage et s’il souhaite se transformer par la magie de la musique du maestro, il acceptera toutes les directives dans une attitude de quête enthousiaste. Il les appliquera à son propre instrument, observant et guettant les résultats.

De façon très similaire, le Guru est investi d’une autorité légitime par le disciple. C’est le disciple qui, comme l’étudiant en musique, ouvre la porte à une relation transformative. Le disciple voit, entend et sent une magie dans le Guru. Le disciple se rend compte que cette magie n’est pas uniquement une caractéristique individuelle, spécifique au Guru. Il fait partie et part de l’extase de la vie. Cette reconnaissance (qui est vraiment re-connaissance, redevenir conscient de) inspire le disciple à investir le Guru d’une autorité légitime. Au cœur d’une telle relation, il n’y a ni imposition, ni domination, ni contrôle externe.

Ayant reconnu l’autorité légitime du Guru, quelle est la prochaine étape ? Sri Patanjali, dans les Yoga Sutras, nous enjoint d’accorder une attention spirituelle au Guru. L’attention spirituelle n’est ni servilité, ni foi, ni obéissance aveugle. L’attention spirituelle, sceau du disciplariat, exige vigilance, ouverture d’esprit et honnêteté. Dans ce texte Goswami Kriyananda insiste donc sur une exigence, à tout moment, de conscience de soi, de réflexion et de clarté dans la relation Guru-Disciple. Une compréhension profonde de l’attention spirituelle est vitale quant au développement d’une relation Guru-Disciple saine et authentique. Sans attention spirituelle, ce rapport sacré peut dégénérer en adoration du héros, ouvrant la porte aux pulsions nuisibles et aux projections émotionnelles.

Comme tout rapport important, la relation Guru-Disciple a des dimensions psychologiques, sociales et spirituelles. Pour que cette relation atteigne son but, l’Illumination, la clarté dans toutes ces dimensions est essentielle.

A l’Est, des siècles de vieux modèles sociaux et d’attitudes psychologiques supportent l’institution de la relation Guru-Disciple. Malheureusement, quand ces structures sociales et psychologiques perdent leur vitalité créative, elles deviennent des formes mécaniques dépourvues de l’exigence de l’attention spirituelle qui vivifie la relation.

A l’Ouest, nos modèles sociaux et attitudes psychologiques présentent un problème culturel radicalement différent. La nature de la relation Guru-Disciple y est grossièrement déformée en termes de siècles de hiérarchie religieuse séculaire.

C’est pourquoi le texte de Goswami Kriyananda s’avère si opportun à ce moment. Par-delà les apparences sociales et psychologiques à la fois de l’Est et de l’Ouest, il s’attache à la nature essentielle de la relation Guru-Disciple. En vérité, le lien sacré Guru-Disciple transcende les limites des systèmes sociaux et de la psychologie individuelle. Et pourtant, comme le souligne abondamment le texte, ce rapport spirituel n’est en aucune façon détaché de ce monde, vague ou indéterminé. Ayant clarifié le cœur de la relation Guru-Disciple, Goswami Kriyananda fournit des directives claires pour construire des structures psychologiques et sociales saines afin de nourrir notre recherche spirituelle.

Comme toujours, le Chemin est le fil du rasoir. Le labyrinthe du mental est complexe. Nos besoins de dépendance sont profonds et notre désir de pouvoir est intimement lié à ces mêmes besoins. Investir le Guru d’une autorité légitime ne signifie pas sacrifier sa conscience de soi. Devenir disciple n’absout pas de renoncer à l’effort de grandir. C’est tout-à-fait le contraire !

Comme le souligne Goswami Kriyananda, tout le monde sur le plan terrestre a du karma, des failles émotionnelles auto-limitatives. Reconnaître la vérité du karma appelle à la clarté et à la compassion vis-à-vis de soi et d’autrui. Naturellement, constater le karma n’excuse en aucun manière l’ignorance ni les expressions d’émotionalité négative. A l’Ouest nous avons été les témoins ces dernières années d’une flambée d’actions violentes et inappropriées de la part d’individus arborant le titre de Guru. Sans blâme ou dénégation, reconnaissons les faits de notre karma. Puis, en tant que chercheurs spirituels, que chacun de nous examine ses propres faiblesses émotionnelles en rôtissant les graines de violence dans le feu de l’honnêteté spirituelle et de la conscience de soi. De cette manière, nous pouvons nous reconnecter aux valeurs génératives qui guident une quête saine de l’Illumination. L’auteur nous rappelle à maintes reprises que la Sagesse est le guide ultime et qu’elle se trouve au-dedans.

Ce texte éclaire la véritable valeur de la relation Guru-Disciple. Une étude attentive peut dissoudre la confusion psychologique qui engendre des conduites préjudiciables. Sur une base de clarté psychologique, nous pouvons corriger des déséquilibres dans notre sphère sociale et ouvrir des portes intérieures vers des royaumes plus profonds d’éveil spirituel où la relation Guru-Disciple atteint l’accomplissement.

C’est notre espoir que la lecture et l’étude de ce texte vous aidera à ôter les obstacles à votre Illumination et que vous vous ouvrirez à la véritable intimité qui est au cœur de la Vie.

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Pour améliorer votre futur, améliorez la qualité de vos pensées

Poisson qui saute hors d'un bocal

Il est vital de ne vous faire aucune illusion sur la nature de votre mental. Vous devez voir ses faiblesses et chercher à les corriger. A la minute où vous essayez de les excuser ou de les nier, vous avez mis un obstacle dans votre Chemin. La seule façon de supprimer tous les défauts de votre mental et donc de votre personnalité, c’est de les reconnaître clairement et de les adoucir.

Toute la sagesse et tous les Yoga siddhis se trouvent endormis dans les tréfonds de votre âme. Cependant ils peuvent être éveillés. En devenant calmement conscients des fautes du mental, vous serez à mi-chemin d’améliorer les états mentaux. Réaliser la nature dense du mental est difficile à obtenir à cause de la nature auto-illusoire de l’ego. Si vous pouvez vaincre cette faute vitale, alors le portail s’ouvre, menant à la sagesse ancienne.

Dans cet entraînement du mental, la conscience des désirs du mental doit être notée. C’est important de réaliser que votre mental ne doit pas nécessairement se libérer du désir, mais plutôt que le nombre des désirs doit être limité, adouci et dirigé clairement vers de plus hauts buts de vie.

La vibration de l’environnement est importante. C’est un domaine que négligent la plupart des chercheurs. Un chercheur pratiquant la sadhana dans un environnement rempli de formes-pensées émotionnelles doit être conscient que ces formes-pensées ont un effet important sur le mental subconscient, accélérant ou entravant l’évolution.

Les formes-pensées ont un triple effet : Elles tendent à ‘forcer’ à penser la même pensée encore et encore. Elles tendent à attirer dans de nouvelles expériences, accordées aux vibrations de la forme-pensée produite. Cela s’accomplit en pensant de nouvelles pensées. Les pensées positives créent un futur positif. Les pensées négatives créent un futur négatif. Enfin vos formes-pensées créent votre futur. Donc, pour changer et améliorer votre futur, améliorez la qualité de vos pensées.

Quand une vague soudaine d’émotions déferle sur une personne, le corps astral s’active, produisant une forme-pensée en fonction de la nature de la pensée. Ce changement est temporaire puisqu’il change à chaque nouvel ensemble de pensées. Néanmoins, chaque pensée et chaque émotion ajoutent un peu de sa vibration au corps astral. Donc, chaque fois une personne cède à une certaine émotion ou pensée, il devient plus facile de se succomber encore à cette émotion parce que le corps astral s’est ajusté à vibrer à ce taux.

Donc allégez peurs et inquiétudes en supprimant les émotions fortes de votre mental. Adoucissez les désirs forts, afin que vos affirmations et mantras puissent se manifester plus facilement dans votre vie. Apaisez le bavardage de surface du mental :ces pensées différentes et diverses l’éparpillent, entravant la capacité du mental à focaliser ou à se concentrer. Enfin, élevez et concentrez les énergies mentales afin que le dialogue intérieur s’élève et se centre.

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— Goswami Kriyananda in Sur le Chemin de l’Eveil.

Mort, Transition, Renaissance : L’Art de Mourir Consciemment

Saison : mort et renaissance des arbres, renouveau de la nature

Namasteji,

Nous allons avoir un cours très passionnant. S’il ne vous effraie pas, il sera d’une grande valeur pour vous. Voulez-vous regarder sur votre gauche, puis sur votre droite, s’il vous plaît. Bientôt, ces choses là ne seront plus là . Comme on dit en anglais : personne ne va s’en sortir vivant ! à‡a ne devrait pas vous effrayer, ça ne devrait pas vous déranger. Le titre du séminaire est : “Mort, Transition, Renaissance”.

Comme le disent les Upanishads : ce qui est né mourra mais ce qui meurt renaîtra. Vous êtes immortels, vous, pas vous le corps, pas vous le mental, pas vous la personnalité, mais vous l’état de conscience que vous êtes. à‡a s’appelle ” Atma “, parfois ça s’appelle ” Purusha “, en anglais ça s’appelle ” Spirit ” mais en français nous n’avons pas de mot pour cela ” Esprit “, on a le concept du mental, n’est-ce pas !

Le corps en tibétain est appelé ” Lu ” et le mot veut dire ” Ce qui est laissé derrière, ce qui est tombé ” . Vous habitez ce corps pendant une courte période de temps et à un certain point du futur ce corps là mourra, mais vous n’êtes pas le corps, simplement vous laissez le corps derrière vous et pour renaître dans un corps un peu meilleur. Si vous êtes une femme vous devriez être très heureuse.

Autre point : en fait on pense souvent à la réincarnation comme le fait de revenir sur terre et on oublie que quand on quitte son corps physiquement on va dans l’astral, le mot ” astral ” signifie simplement un plan de conscience plus subtil. Les religions disent que c’est un corps supérieur, une vibration supérieure mais ça c’est politique. Il n’y a pas de supérieur ni d’inférieur. C’est comme les 7 couleurs de l’arc-en-ciel, nulle couleur n’est supérieure aux autres, elles font partie intrinsèque de la couleur sans couleur.

Tout ce processus de mort-transition-renaissance consiste à mourir consciemment. Il y a pour la majorité des gens, il y a toujours ce processus: ” naissance-mort “, ” naissance-mort “, ” naissance-mort”, il n’y a pas de changement. Selon le mysticisme occidental, quand un être humain marche vraiment le Chemin vers l’Illumination, il a été incarné sur le plan terrestre pendant approximativement 850.000 incarnations. Aux Etats-Unis, on dit qu’on se réincarne 3 fois, j’aurais bien aimé que ce soit comme ça. Donc, respectueusement et avec amour, pour vous et moi je pense que vraiment cela sera plus de 850.000 fois, donc la 1ère règle, le 1er principe, le 1er morceau de sagesse c’est d’être confortable avec soi-même, confortable dans ce monde.

La religion, avec grand respect, nous a rendu un très mauvais service parce que beaucoup de personnes pensent que tout se produit là -bas ou en haut. Rien ne se passe là -haut, rien ne se passe là -bas, tout se passe à l’intérieur de vous. Je suis sûr que vous avez vu ce mudra là tant de fois. Le cercle symbolise l’éternité qui est la vie, pas de commencement, pas de fin, alors quel est le problème ? Vous vous ennuyez, vous vous ennuyez et vous dites, ” Oh, mon Dieu, que vais-je faire maintenant ? Ah, je sais ce que je vais faire : je vais me marier. Oui, ça règle le problème pour 1 heure ou 2. Ensuite, vous dites : oh, la, la, je m’ennuie. Ah, je sais ce que je vais faire : je vais faire un bébé. Cela va le faire pour 20 ou 30 ans mais, pardonnez l’expression, nous sommes en train de creuser notre tombe de plus en plus profondément, nous nous enfonçons de plus en plus profondément dans le confinement.

Votre vie terrestre est votre vie spirituelle, il n’y a pas d’autre vie pour vous à ce point du temps donc soyez heureux, apportez votre pique-nique. Il s’agit du rire, d’apprécier la vie. La 1ère erreur que commettent les gens est de confondre le sérieux avec la sincérité. Ils pensent qu’en étant très, très sérieux, ils prouvent leur sérieux. Regardez donc tous les saints : ils souffrent, ils sont crucifiés, ils sont tristes, malheureux, en souffrance. Ce n’est pas la Sagesse et, respectueusement, ce n’est pas la religion. Il y a pas de saints en Inde parce que s’ils sont tristes, ce ne sont pas des saints. Il s’agit du rire, il s’agit de la joie.

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Rituel pour se libérer du Ressentiment

oiseau qui s'envole de sa cage, liberté, libération des sentiments

“Faîtes ce rituel pour vous libérer du ressentiment. Faîtes-le maintenant.

Votre réticence à pardonner aux autres le mal réel ou imaginaire qu’ils vous ont fait est un obstacle majeur à l’obtention de la sagesse et de la paix du mental.

Les gens disent : “Je veux pardonner, mais je ne peux pas”. Ce qu’ils disent vraiment, c’est qu’ils ne veulent pas pardonner car ils éprouvent de la satisfaction à entretenir leur ressentiment. Ces personnes veulent que la partie adverse reconnaisse ses torts et qu’elle s’excuse. Qu’elle se rachète et qu’elle soit punie comme condition du lâcher prise du ressentiment.

Voici un moyen-clé pour vous débarrasser des ressentiments que vous nourrissez.

Expulsez le ressentiment de votre système. Faites ceci en imaginant que vous regardez la personne ou le groupe envers qui vous nourrissez du ressentiment. Exprimez-leur ce ressentiment.

Une fois que vous avez exprimé votre ressentiment, observez les événements qui ont provoqué cette émotionalité et regardez cela de leur point de vue. Comment cet événement est-il perçu à travers leur regard ? La plupart des actions sont le résultat d’une tristesse profondément ancrée.

La réaction est le résultat d’un mécontentement profondément enraciné en vous. La plupart du temps, ce n’était pas vous qui étiez visés. Ils ne faisaient que répondre à quelque chose de profond en vous. Alors, ayez de la compassion pour eux.

Puis, ayez de la compassion et du discernement vis à vis de votre personnalité et votre complexe mental. Si ce procédé ne fonctionne pas, c’est que vous êtes très vraisemblablement ce type de personnalité dont le mental subconscient s’occupe activement à collectionner blessures et ressentiment.

Si vous possédez ce type de personnalité, il serait utile de neutraliser vos attentes envers les gens, les groupes et les organisations. Gardez à l’esprit qu’ils n’ont aucune obligation de vivre selon vos attentes ou les miennes.

Le secret est de prendre la décision d’abandonner votre ressentiment. Voici la méthode :

  1. Imaginez l’événement le plus merveilleux survenu dans votre vie. Prenez bien le temps de vous le représenter de façon très vivante. Savourez ce sentiment positif.
  2. Revenez alors à la scène de votre ressentiment. Imaginez-la un moment. Sentez l’émotion. Puis, retournez rapidement à la scène de votre plus merveilleux événement. Sentez la beauté.
  3. Continuez le va-et-vient entre la joie positive et l’émotionalité de l’événement négatif. Poursuivez jusqu’à  ce que vous sentiez le ressentiment s’affaiblir et disparaître. Lorsque cela arrive, cela signifie que votre mental a choisi la joie au lieu de l’émotionalité.
  4. Ne soyez pas surpris si le ressentiment revient après un certain temps. Si cela se produit, répétez simplement le rituel. Le renoncement à l’émotionalité et le fait de devenir heureux constituent souvent un saut trop important à faire en une seule fois pour la plupart des gens.
  5. Soyez conscients des pensées et des émotions qui surviennent lorsque vous pratiquez cette technique. Elles vous donnent des indices sur d’autres choses à équilibrer en vous, d’autres choses à travailler.”

Shanti & Prem
Goswami Kriyananda

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