L’Astral de la Renaissance : Antara Bhaava

Silhouette en méditation sur fond cosmique, astral de la renaissance

Le cours Astral de la Renaissance ou Antara Bhaava est la suite logique de l’entraînement intensif Sur le Chemin de l’Éveil.

Cette série de 39 enregistrements audio, traduits en français sous forme d’une Leçon par semaine et de deux leçons de révision par mois dure 9 mois.

Que l’étude de cet Enseignement vital pour améliorer votre vie présente et vos vies futures vous soit auspicieux et vous apporte Aperçus Profonds, Sagesse et Illumination via vos pratiques, vos méditations et vos réflexions.

« Se fondant sur les Enseignements Yoguiques Mystiques du Kriya, ce nouveau cours L’Astral de la Renaissance est structuré pour provoquer une amélioration majeure dans cette vie et dans les incarnations futures.

Ce nouvel Enseignement ne traite pas de la mort et du mourir, mais de la renaissance de votre conscience dans l’univers intérieur, ce qui vous permet de voir que ce qui se passe dans votre univers extérieur n’est qu’une réflexion différée reflétant ce qui s’est passé dans vos mondes intérieurs.

Comme l’a souvent dit mon Guru Sri Shelliji, « Mystiquement, la mort est inconscience et la vie est Conscience ». Vous êtes bénis d’être assis aux pieds de Sri Shelliji et de partager les grands Enseignements des Anciens. Vous avez du bon karma. Maintenez ce bon karma en l’appliquant à votre vie, en améliorant votre vie et donc automatiquement le caractère de votre entourage et votre vie s’amélioreront.

En Yoga, le concept de l’Astral de la Renaissance est connu sous le nom d’Antara Bhaava.

Antara signifie milieu, et Bhava signifie de nombreuses choses, en particulier attitude – une attitude exprimant une relation particulière envers votre Ishta Devata. Bhava a aussi la connotation et le concept d’intention juste ou mieux de disposition juste.

Antara Bhava signifie L’Espace du Milieu, c’est l’espace qui se situe entre le plan de la conscience terrestre et ce que certains appellent le plan causal ou d’autres les plans supérieurs. En Français, ce plan du milieu s’appelle le Monde Astral.

Continuez mes Bien-aimés à être une bénédiction. Si vous accomplissez cet Entraînement Kriya et suivez la Sadhana rituelle, ce sera la plus grande et peut-être la dernière bénédiction majeure que je puisse vous laisser. »

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Goswami Kriyananda in L’Astral de la Renaissance

La Bhagavad Gîtâ ou l’Art de l’Action Juste : Karma Yoga

Bataille de la Bhagavad Gita

“La Bhagavad-Gîtâ ou Le Chant du Seigneur est donc un dialogue entre le Seigneur Krishna et Arjuna, le héros humain. Le terme Arjuna signifie ‘le mental’. Le terme Krishna se traduit de différentes manières : la Lumière, la SurÂme, Dieu, le Seigneur, etc.

Le cadre est une bataille entre cousins qui a lieu en Inde ancienne, à Kurukshetra. D’un côté les Pandavas, signifiant les 5 parties, et cela symbolise les chakras ; de l’autre, les Kauravas, les 100 fils du roi aveugle Dhritarashtra. Les deux familles ne pouvant résoudre leurs conflits, la bataille va donc commencer.

Le roi aveugle a 100 fils et aussi un magicien, un yogi mystique comme conseiller et ami du nom de Sanjaya. Le chant, le dialogue commence quand le roi aveugle pose une question à son conseiller. Via ses pouvoirs yoguiques, Sanjaya est capable de voir par clairvoyance et d’entendre par clairaudience ce qui se passe sur le champ de bataille.

Le premier verset de la Gita commence quand le roi aveugle Dhritarashtra demande à Sanjaya:
Sur le champ du devoir, sur le champ des désirs du cœur,
Assemblés et prêts à résoudre qui sera le Sire final,
Mes cent fils ou les cinq fils de Pandu,
Qu’ont-ils fait ? Qu’ont-ils fait ?

Il y a une bataille entre la lumière et les ténèbres, symbolisée par le roi qui n’est pas aveugle et a donc très peu de fils (symboliquement cinq fils, les cinq chakras) et le roi aveugle de naissance qui prolifère et qui a cent fils.

Le symbolisme ici est que la bonté est rare et l’ignorance abonde. Mystiquement tout le poème est symbolique et la question revient à comment 5 peuvent battre 100. C’est un rapport de 1 à 20, un symbolisme très important.

A un deuxième niveau, il y a aussi une signification double.
Le roi a demandé : “Sur le champ du devoir, sur le champ des désirs du cœur”… Là est le véritable champ de bataille.

Dans un sens on pourrait dire que la bataille est la bataille de la dualité, comme l’ancien dieu Babylonien des ténèbres et le dieu de la lumière, le principe de l’ignorance et le principe de l’intellect, le cœur et la tête.

Beaucoup de choses sont produites par le cœur mais très peu par la tête, et la tête devrait toujours gouverner le cœur. A un niveau yoguique personnel, cela signifie que nous sommes sur le champ sacré, un champ de rituels. C’est ce que signifie vraiment ce mot. Nous avons tous ce combat dans notre tête et dans notre cœur.

Le cœur a produit beaucoup de choses comme maisons, voitures et comptes bancaires, toutes les émotions ont des forces puissantes qui produisent des souffrances auto-créées.

L’enjeu est de savoir comment parvenir à cette bataille ultime, comment trouver et comment gérer celui qui sera le ‘sire final’, le grand roi qui ultimement gouvernera : la sagesse ou l’ignorance ? Les chakras ou toutes les émotions qui gouvernent notre vie ? Allons-nous faire ce que désire notre cœur ou ce que demande le devoir ?

Les anciens moines bouddhistes japonais et les anciens moines catholiques diraient quelque chose comme “Pro deo et patria”, pour Dieu et la patrie. Il n’y a pas de place pour les désirs du cœur. Ou “Dulce et decorum est pro patria mori”, c’est une chose belle et noble de mourir pour son pays.

C’est une bataille ultime et si nous la perdons, nous vivons à jamais dans et avec les émotions et les désirs de notre cœur, un monde d’émotionalité et d’ignorance.

Le poème commence sur un champ de bataille, signifiant que cette vie est un champ de bataille et que nous devons vaincre notre ennemi. Immédiatement tout le monde se crispe, refusant de devenir violent. L’ennemi n’est pas là-bas, l’ennemi est vous pour vous et moi pour moi. Comprenez-vous ?

La Vie est un champ de bataille symbolique, un schéma. Nous devons sortir victorieux et surmonter les schémas négatifs de notre vie.

Historiquement, le champ appelé Kurukshetra, ‘la plaine de Kuru’ en Sanskrit, est situé en Inde dans l’état de Haryana, et pendant 7000 ans environ, de façon continue, il fut utilisé pour les rituels sacrés.

Or la vraie raison pour laquelle le roi aveugle pose la question, c’est parce qu’il sait où a lieu la bataille : le champ de bataille est un endroit où rituel après rituel, sacrifice sacré après sacrifice sacré, Yajna après Yajna ont été accomplis. Et par conséquent quand les forces démoniaques viennent sur ce champ de bataille, le roi peut être aveugle, mais il n’est point sot, il en connaît déjà l’issue. Sur un champ qui est déjà sacré par l’accomplissement de Yajna, le Bien gagne…

Cette vie, votre vie, est le champ de bataille, mais c’est un champ de bataille qui est sacré grâce à tous les anciens Rishis, sages, prêtres, maîtres, hommes sacrés, femmes sacrées qui ont continûment sacrifié toute leur vie dans un rituel, et de toute évidence mères, pères, amis, invités et tous ceux qui ont aimé non-égoïstement, et l’amour est toujours producteur de sacrifices…

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Goswami Kriyananda in La Gita pour les Débutants

La Bhagavad Gîtâ pour les débutants

Bhagavad Gita Arjuna

Goswami Kriyananda nous l’a répété à chaque séminaire, à chaque Réunion Disciple, dans chacun de ses Enseignements : “La vie matérielle est la vie spirituelle, la vie spirituelle est la vie matérielle”.

La Bhagavad-Gîtâ met en scène le champ de bataille de Kurukshetra, lieu sacré où, en proie à un dilemme, le héros Arjuna va recevoir la transmission de la vérité ultime aux pieds du Seigneur Krishna.

En mettant en exergue cette relation Guru-Disciple, la Gita rend accessible la voie du Karma Yoga à l’homme ordinaire. En effet, nourrie de tous les défis que nous rencontrons, c’est notre vie quotidienne qui nous offre à tout instant la possibilité d’évoluer par le biais de nos actions titillées par les désirs incessants de notre mental.

Comment agir non-égoïstement ? Comment agir sans nous laisser dominer par l’émotionalité ? Comment accepter et assumer le résultat qui découle immanquablement de nos actions ? Quelles Leçons pouvons-nous retirer de la Gita pour nous aider à relier vie extérieure et vie intérieure et progresser sur le Chemin de l’Évolution?

Telles sont les directions de ce nouvel Enseignement où Kriyananda explore les trois premiers chapitres de la Gita pour nous inciter à en poursuivre la lecture. “Les Enseignements Kriya de la Gita ont été donnés pour expanser notre conscience, dit-il, et donc rendre notre comportement plus adroit pour améliorer votre vie en nous déplaçant d’un concept à une action.”

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Quelle est la pensée-clé de la philosophie orientale ?

Mala et texte sanscrit sur un parchemin ou rouleau de prière

La pensée-clé de la philosophie orientale est liée au problème de la souffrance. La souffrance est causée par soi-même parce que les gens vivent dans l’illusion.

L’illusion consiste en une mauvaise compréhension de la manière dont l’univers fonctionne et une mauvaise perception de la manière dont vous voyez le monde. C’est être inconscient de qui l’on est réellement et de notre vraie place dans l’ordre des choses. L’illusion est causée par un transfert génétique négatif accompagné d’avidité et d’aversion.

Dans un état d’illusion, vous n’êtes pas en harmonie avec vous-même et donc pas en harmonie avec la Vie. L’illusion vous empêche de vivre en accord avec votre devoir le plus élevé qui est le “Connais-toi toi-même” car lorsque vous vous connaissez, vous savez comment agir et que faire.

Affecté par les toxines de l’illusion, vous regardez à l’extérieur de vous pour trouver la satisfaction et le bonheur ainsi que les solutions à vos problèmes. Ce regard vers l’extérieur crée plus de frustration et de colère qui à leur tour produisent plus d’illusion, vous empêchant de comprendre que vos actions engendrent soit de la souffrance et des limitations ou alors du bonheur et de la liberté. Bref, tout revient à l’effet de vos actions.

Ce qui est nécessaire, c’est une sadhana (disciplines spirituelles) de purification. En pratiquant votre sadhana, vous pouvez faire l’expérience de la réalité sans les distorsions causées par les désirs, attentes et peurs et ainsi vous libérer de l’illusion. Une sadhana de purification nécessite persistance et patience parce que les gens ont été sur le mauvais chemin pendant de nombreuses incarnations. Le but de la sadhana est de libérer votre mental de son brouillard et des obstacles qui obscurcissent son éclat naturel et de les transformer afin que l’Illumination et la libération puissent se manifester.

D’abord, vous devez commencer votre sadhana à l’endroit précis où les toxines se forment – dans le mental lui même – ou plus précisément, dans la forme-pensée qu’est votre ego social, votre personnalité sociale. Vous pouvez briser les chaînes de karmas négatifs et vous libérer de la souffrance en émettant des pensées de compassion et en aidant les autres. Les pensées positives envers les autres, incluant votre propre corps et mental vous induiront à vivre une vie heureuse et épanouie en permettant à ceux qui sont autour de vous de participer à ce bonheur.

Puis, apaisez votre mental en lâchant les désirs et l’avidité et en ôtant les émotions. En faisant cela, vous voyez profondément en vous-même, reconnaissez les limitations des pensées et des émotions négatives et ainsi vous les éliminez. En résumé, vous devez juste les reconnaître quand elles commencent à se manifester.

En étant attentif et conscient, vous discernerez comment les influences négatives sont profondément enracinées et enchevêtrées dans votre pensée quotidienne et dans vos actions – extérieures et intérieures.

La tâche suivante est d’acquérir une conscience attentive de ce qui se passe dans votre mental, vous donnant la capacité de transformer ces obstacles. Pour atteindre cette étape de maîtrise, vous devez pratique l’art de l’asana, de la concentration et du pranayama.

Puis, lâchez toute attitude de jugement dans votre vie quotidienne afin de permettre aux pensées et aux émotions de traverser le mental sans y réagir ou vous y accrocher. Apprenez à les voir pour ce qu’elles sont, mais ne les autorisez cependant pas à circuler. Ne les laissez pas se cadenasser dans votre mental car c’est là que le problème commence.

Grâce à cette sadhana, vous deviendrez plus conscient du mental et de son contenu dans les circonstances quotidiennes et vous serez capable de remarquer lorsque les émotions du mental commencent à vous perturber. C’est à ce moment-là que ces obstacles peuvent être aisément contrôlés avant qu’ils ne vous blessent, vous ou autrui.

Au cours de la pratique de votre sadhana, vous parviendrez à une compréhension plus profonde du fonctionnement de votre mental et donc de celui du monde. Avec cet aperçu profond, vous pourrez vous libérer des chaînes de l’illusion. Le contentement et le bonheur s’ensuivront et vous réaliserez que l’Illumination est votre vraie nature. Vous êtes un Esprit habitant un mental, ayant un corps physique ; vous n’êtes pas un corps ayant par hasard une âme.

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Shanti,
Goswami Kriyananda

Kaivalya, Voie vers la Conscience de Dieu

Montagne sur ciel bleu et pur, kaivalya

Toutes les étapes du yoga mènent à Kaivalya, la Libération. Atteindre Kaivalya, c’est toucher la Réalité Ultime, devenir un avec la Conscience de Dieu. Cet état de conscience peut symboliquement se comparer à de l’argile amorphe, n’ayant aucune forme réelle.

Ajoutez de l’eau à cette argile, malaxez-la, travaillez-la : vous pouvez la transformer en tasse. Quand vous regardez la tasse, vous ne voyez que la forme, son nom et sa fonction. En vous approchant de la Conscience Divine, cependant, vous ne vous intéressez plus à la forme ; vous vous intéressez seulement à l’essence. En analyse finale, ni le nom ni la fonction de la tasse ne sont importants. La seule chose qui importe est l’argile elle-même.

Gardons le symbole de l’argile que l’on peut retransformer en argile informe pour former en un objet différent : de la même façon, la Conscience de Dieu peut se comparer au fait de prendre une création, de la faire s’effondrer en elle-même et de la re-projeter en une nouvelle création.

Le chemin vers Kaivalya signifie que votre propre création, votre propre condition karmique peut s’effondrer en elle-même et ramenée à l’équilibre. Une fois l’équilibre atteint, ré-atteint et maintenu, vous êtes alors libéré de votre esclavage humain, vous pouvez transcender votre nature humaine et atteindre la divinité.

Kaivalya s’atteint en atteignant le Samadhi, huitième membre du chemin du yoga et plus haut état de conscience. Même si vous n’atteignez le Samadhi que pendant un millionième de seconde, votre vie sera notablement améliorée.

Une fois atteinte, la Conscience de Dieu reste à jamais dans votre mémoire. L’expérience peut s’affaiblir mais n’est jamais oubliée. Chaque expérience de Conscience de Dieu rend votre vie moins conditionnée par le karma humain. Selon les mots de mon Guru, “Dieu est toujours nouveau, toujours changeant, une Félicité toujours plus grande. Car s’il ne l’était pas, il deviendrait surement ennuyeux…et je vous assure que Dieu n’est pas ennuyeux”.

En Samadhi, chaque personne fera une expérience différente de Dieu car les besoins spirituels de chaque individu varient. La façon dont vous voyez Dieu est déterminée par votre karma; la façon dont vous L’approchez détermine comment Il se révèlera à vous. Le yogi assis dans une cave de l’Himalaya qui n’a vu âme qui vive depuis des années verra Dieu autrement que le yogi étudiant et travaillant dans une grande ville moderne. Chaque expérience de Dieu est personnelle et intime. Pourtant, chacune est galactique et liée à la totalité de la Vie.

Si un yogi himalayen sort de sa cave et commence à enseigner, sa conscience, les besoins de ses disciples et l’approche de Dieu envers lui seront différents. Ses besoins spirituels dans le monde extérieur modifieront notablement sa vision. Sachant cela, vous comprendrez que Dieu est réellement au service de l’humanité.

Non seulement Dieu apparaît selon vos besoins, mais Il apporte des présents qui vous aident à équilibrer votre vie. La Conscience de Dieu pénètre chaque cellule de votre être, selon vos besoins spirituels et amène dans votre vie bonheur, joie, contentement, Félicité et Sagesse. Il ne juge pas et Il n’est pas affecté par votre personnalité. Il vient et améliore votre vie. Il est la Lumière de la Vie. Il vous laisse avec votre individualité vivre le rêve que vous voulez. Tel est ce merveilleux mystère.

L’expérience de Kaivalya est l’expérience de l’amour compassionné, désintéressé. Le but n’est pas de courir vers Dieu mais plutôt de vous harmoniser à Son amour et à Sa sagesse. Le bonheur de la Conscience de Dieu n’est pas transitoire. L’expression de l’âme de l’esprit n’est pas temporelle.

Lorsque vous quittez le plan physique, avant tout vous emportez avec vous une chose : la sagesse que vous avez atteinte et l’amour que vous avez donné et reçu. Cette sagesse-amour vous accorde la réalisation que vous pouvez manifester l’Esprit.

L’Esprit est le Seigneur de la Lumière. Sa lumière est la Sagesse intime et désintéressée. Le but de Kaivalya n’est pas d’échapper à la Vie mais de la vivre et de manifester la sagesse-amour compassionnée sur ce plan terrestre et sur tous les plans.

Le yogi n’est pas tant un théologien, un psychologue ou un philosophe qu’un chercheur avant tout. C’est, en vérité, un scientifique mystique qui travaille avec le temps et l’espace dans le laboratoire de la Vie et de l’expérience. Pour vous, âme qui souhaite pénétrer la signification profonde de la Vie et en atteindre une appréciation plus vraie, la Vie ne doit pas seulement être étudiée. Vous devez aussi entrer dans le temple intérieur de ce laboratoire.

La base même du yoga provient de cette envie innée de l’être humain de dépasser le seuil de l’expérience pour connaître le Connaisseur, pas la connaissance ; pour voir le voyant, pas ce qui est vu. Nombreuses sont les âmes qui souhaitent goûter au miel de l’existence. Mais le yogi affirme, “Je ne veux pas goûter le miel, je veux devenir le miel”. Quelle impertinence de croire qu’il peut faire cela ! Pourtant, tous les sages de jadis disent que c’est possible.

Le point de départ du yoga est très différent de la psychologie, de la psychiatrie ou de la sociologie occidentales. Son but aussi est très différent. Son but est d’amener une réalisation de la réponse à cette question : “Voyageur, que cherches-tu ici… puisque ce monde n’est pas ta maison ?”

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— Goswami Kriyananda, Voie vers la Conscience de Dieu.

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