Comme le disent les Upanishads : ce qui est né mourra mais ce qui meurt renaîtra. Vous êtes immortels, pas vous le corps, pas vous le mental, pas vous la personnalité, mais vous l’état de conscience que vous êtes.
Cela s’appelle “Atma“, parfois “Purusha“, “Spirit” en Anglais, “Esprit” en Français. Le corps en Tibétain se nomme “Lu” qui veut dire “Ce qui est laissé derrière, ce qui est tombé”.
Vous habitez ce corps pendant une courte période de temps et à un certain point du futur ce corps-là mourra, mais vous n’êtes pas le corps, simplement vous laissez le corps derrière vous pour renaître dans un corps un peu meilleur.
En fait on pense souvent à la réincarnation comme le fait de revenir sur Terre mais on oublie que quand on quitte son corps physiquement, on va dans l’Astral. Le mot “astral” signifie simplement un plan de conscience plus subtil. Tout ce processus de Mort-Transition-Renaissance consiste à mourir consciemment.
“La dernière pensée d’une personne gouverne le futur destin de cette personne dans l’astral. Cette expérience astrale, et l’action et la réaction de la personne vis-à-vis d’elle, détermine la prochaine incarnation terrestre.
La dernière pensée qu’a une personne juste avant la mort du corps physique, est la somme de toutes les pensées pendant cette vie sur Terre.
Selon d’autres sages, la dernière pensée est un équilibrage de toutes les pensées négatives et positives d’une incarnation sur terre.
Selon d’autres sages encore, la pensée que maintient une personne envers ce lieu ou cette personne, l’âme y va : l’on pense au bien, au bien l’on va. On pense à la peur, à la peur l’on va. On pense à l’Inde, à l’Inde l’on va. On pense à son Ishta, à cet Ishta l’on va.
Tel est le pouvoir de la pensée sur les énergies astrales. Ce que vous pensez pendant votre vie terrestre sera ce que vous pensez à la mort du corps.
Dans la Bhagavad Gîta, le Seigneur Krishna dit, “Celui qui pense constamment à moi en concentration trouvera que je suis facilement atteignable…, par conséquent, à tout moment, médite sur moi, le Vasudeva suprême… et tu m’atteindras”.